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Covid-19 : avec les passes, l'UE montre son vrai visage

Covid-19 : avec les passes, l'UE montre son vrai visage

L'OMS a déclaré qu'il fallait supprimer les passes pour voyager. L'Union Européenne veut au contraire miser sur les passes, au mépris des règles de libre-circulation. Elle montre ainsi son vrai visage...

L'Organisaiton Mondiale de la Santé a déclaré la semaine passée qu'elle voulait que les Etats suppriment les passes pour les voyages.

Or voici que comme une provocation la Commission Européenne annonce qu'elle est favorable à la règle des passes pour voyager.

« Les ministres de l'UE sont parvenus aujourd'hui à un accord sur la mise à jour des règles visant à faciliter la libre circulation en toute sécurité dans l'UE pendant la pandémie de COVID-19. Cet accord fait suite à la proposition de la Commission du 25 novembre 2021 » indique un communiqué de l'UE.

L'UE ajoute « procurer de la clarté et de la prévisibilité à nos citoyens est essentiel pour que les voyages s'effectuent en toute sécurité, et ce grâce à notre certificat COVID numérique de l'UE, qui est bien établi et qui a fait ses preuves. Aujourd'hui, les États membres ont confirmé une nouvelle fois que la possession d'un certificat COVID numérique de l'UE en cours de validité devrait en principe être suffisante pour voyager pendant la pandémie. Cet accord place donc le certificat COVID numérique de l'UE au cœur même de notre approche coordonnée ».

L'objectif de l'UE est donc d'utiliser ce passe pour mettre en place une identité numérique européenne et bientôt une monnaie numérique. La mise en place de ces systèmes de surveillance conduira tôt ou tard à un modèle à la chinoise.

La vidéo ci-dessous montre la président de la Commission faisant l'apologie de la future identité numérique :

 

L'UE : ennemie des libertés publiques?

Bizarrement le thème de l'Europe est très peu présent dans la prochaine campagne présidentielle alors que l'on voit aujourd'hui que l'UE semble être l'ennemie des libertés publiques en empêchant les européens de voyager sans passe sanitaire alors que ce droit à la libre-circulation est inscrit dans les traités.

Au final la libre-circulation n'aura été qu'une chimère de l'UE pour mettre en place des passes numériques bien plus coercitifs que les passeports utilisés avant Schengen pour se rendre dans tous les pays d'Europe. L'épidémie de Covid n'est qu'une excuse pour ces passeports numériques vaccinaux prévus dès 2019, avant l'épidémie de Covid (NDLR : voir ci-dessous le document officiel de l'UE datant de cette époque).

vaccinationcard ue 2022

La France a-t-elle intérêt à faire partie de l'UE telle qu'elle est aujourd'hui?

A ce titre, on se demande quel est aujourd'hui l'intérêt pour la France de rester au sein de cet organe supranational qui ne travaille pas dans l'intérêt des français : la mise en place de l'euro a totalement effondré notre base industrielle (voir la France accumule les déficits ), la politique énergétique est une catastrophe comme on le voit actuellement en poussant les énergies renouvelables et le gaz au détriment du nucléaire, l'Europe n'est d'aucune aide pour notre système de défense, l'ensemble de l'écosystème high-tech européen a été transféré aux Etats-Unis et les politiques ultra-libérales ont permis à de grands groupes étrangers de racheter les fleurons industriels français. Aujourd'hui en plus de tous ces aspects négatifs, l'Europe veut imposer de manière non démocratique des passes pour se déplacer qui préfigurent l'identité numérique européenne couplée à l'accès à la monnaie numérique.

L'UE travaille aujourd'hui à mettre en place un modèle à la chinoise sur notre continent contraire au modèle de la plupart des pays d'Europe et de la France qui a toujours été de défendre les libertés. Même les pires dictateurs n'avaient pas pensé conditionner les voyages, l'obtention d'un prêt, la possibilité de dépenser à l'identité numérique et donc l'obligation vaccinale ou toute autre obligation qui passera par la tête des dirigeants de l'UE. La perspective d'un retour au totalitarisme est aujourd'hui présente dans l'identité numérique de l'UE.

Une autre Europe reste à inventer vite ou sinon il vaudrait mieux la quitter : les anglais l'ont compris et ont quitté l'UE car ils pensaient qu'elle n'était pas réformable...

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