Vous aimez notre site? : FAITES UN DON OU ABONNEZ-VOUS

Raffles ouvrira un hôtel dans l'Old War Office à Londres

Raffles ouvrira un hôtel dans l'Old War Office à Londres

Raffles va ouvrir un hôtel de luxe dans l'Old War Office dans le quartier de Whitehall à Londres…

Cet immeuble de style néoclassique a été construit en 1906 et s'étend sur 7 étages. Il a servi de siège à l’administration du Bureau de guerre de 1906 à sa disparition en 1964. Le bureau de la Guerre est issu du Conseil de Guerre de la couronne britannique, une assemblée non-permanente du roi et de ses principaux commandants militaires qui supervisent les campagnes dans lesquelles est engagé le Royaume d'Angleterre. Il a beaucoup décliné en importance après la première guerre mondiale avec une forte baisse de ses effectifs entre les deux guerres mondiales.

Quand Winston Churchill devient Premier Ministre en 1940, il fait perdurer l'habitude de contourner le bureau de la Guerre et prend le titre de ministre de la Défense.

Il a accueilli les bureaux de nombreux hommes politiques comme Winston Churchill, David Lloyd George, Lord Kitchener, Herbert Asquith et T.E. Lawrence.

L'immeuble avait été mis en vente en 2013.

Il comprend plus de 1100 pièces reliées via 4 kilomètres de couloirs et sera converti en un hôtel de luxe Raffles de 125 chambres et 88 appartements privés avec restaurants.

L'immeuble est situé au croisement de l'Horse Guards Parade et de Whitehall à Londres. Le projet devrait être finalisé en juste 3 ans.

« Je suis heureux d'annoncer cet accord de gestion à long-terme avec les groupes Hinduja et OHLD (le propriétaire de l'immeuble). C'est une étape importante pour Raffles et un ajout stratégique dans l'offre de luxe du groupe » a déclaré Sébastien Bazin, CEO d'Accorhotels. Raffles appartient au groupe Accorhotels depuis 2015 date de l'acquisition de FRHI par le le groupe hôtelier français. FRHI détenait les marques Fairmont, Raffles et Swisshotel.

Newsletter
S'inscrire à la newsletter


SONDAGE
Pour réduire le déficit public de l'Etat faut-il :