BusinessTravel.fr a été l’un des rares magazines français à remettre en question le narratif officiel durant le Covid en se basant sur les faits. Les Etats-Unis reconnaissent aujourd’hui officiellement que le virus a sans doute été créé artificiellement et que les vaccins ARNm posent des problèmes selon une déclaration du nouveau directeur du National Institute Health américain, un excellent scientifique américain d'origine indienne. Les scientifiques indiens se sont d'ailleurs montré particulièrement intelligents durant la période du Covid.
Il n’est pas bon d’être journaliste en France en 2024. Un journaliste à la recherche de la vérité bien sûr pas un journaliste attaché de presse ou propagandiste.
Durant la période Covid on a assisté à une censure insidieuse via les réseaux sociaux et les moteurs de recherche de toute parole contraire à la pensée officielle.
Nous avions publié dès 2020 sur Twitter des posts de scientifiques qui doutaient de l’origine naturelle du virus du fait d’insertion douteuses.
Dans notre article de 2022, Tourisme: quelle indemnisation si le virus a été créé en laboratoire, nous avions cité le Dr Ah Kahn Syed qui expliquait dans son blog que le génome du Sars-Cov-2 ne pouvait avoir qu'une origine humaine.
Il expliquait alors que le SRAS-CoV-2 « ne s'est avéré préadapté à aucune espèce d'hôte mammifère testée jusqu'à présent (à l'exception des humains) et ne porte donc aucune des caractéristiques d'un virus généraliste. Nous n'allons pas discuter de l'insert 4 pour l'instant car nous en avons discuté dans la partie 1, mais on peut dire sans risque de se tromper que l'insert 4 est une séquence assez unique et intéressante car il ne code pas seulement pour un site de clivage de la furine (FCS) très utile - qui augmente la virulence du virus de type SRAS, mais il a également une homologie avec la protéine HIV-Gag comme vous pouvez le voir ». Tout le monde trouvait cela normal à l'époque : les journalistes, les hommes politiques, les médecins...
Le professeur Montagnier avait osé s'ériger contre la doxa et avait été décrié pour avoir dit la vérité. Il est mort d'une drôle de manière : sans honneur et décrié alors que sur ce point là encore il avait raison comme pour le virus du SIDA. Mais il est vrai qu'à l'époque on faisait plus confiance à des docteurs généralistes qu'à un professeur ayant reçu le prix Nobel co-découvreur du virus du SIDA. On est forcément bête en tant que grand Professeur quand les valeurs sont inversées. L'un des plus grands scientifiques français de notre époque est donc mort sans hommages : triste France.
Nous avons assisté à une inversion totale des valeurs. Le faux étant assuré comme le vrai et le vrai étant décrié, censuré, marginalisé.
Un virus fort probablement conçu en laboratoire
Le rapport récent de la Chambre des Représentant publié en décembre 2024 estime d'ailleurs que la probabilité de la création d'un virus en laboratoire est élevée et la Maison Blanche vient de publier une page sur son site web indiquant que le virus du Covid venait d'une fuite de laboratoire, ce que tous les esprits scientifiques se doutent depuis longtemps au regard des travaux effectués sur le génome du virus.
Quant aux vaccins ARNm ils ont été bien vite vantés par nos politiciens comme la solution miracle malgré le fait que scientifiquement parlant aucun vaccin ni médicament ne peut-être mis sur le marché aussi rapidement. Mais il y avait de l'argent à gagner, rapidement, facilement...
Les vaccins ARNm une solution miracle d'apprentis sorciers?
De nombreux scientifiques spécialistes de la génétique ont poussé des cris d’alarme sur les dangers potentiels de ces vaccins (trop) novateurs, notamment du fait d’essai cliniques peu rigoureux ce qui a été notamment démontré par le Dr Lorgeril en France, un cardiologue qui s'est intéressé depuis longtemps à la vaccination.
Nous en avions parlé dans cet article en janvier 2022 : https://www.businesstravel.fr/les-vaccins-a-l-ere-de-la-covid-19-un-livre-tres-instructif.html.
Il posait les bases des problèmes liés aux essais clinique des vaccins ARNm, scientifiquement parlant : «présence de sponsors dans l’étude, étude non réalisée en double aveugle, vaccins commercialisés en prenant en compte les risques relatifs et non absolus... ». Ces essais portaient en eux les germes de possibles effets secondaires. Ils sont apparus depuis ces derniers mois, sans surprise et là aussi sans reprise réelle et sérieuse par la presse française.
Le directeur du NIH la plus haute autorité de santé aux Etats-Unis remet en question la pertinence des vaccins ARNm
Aux Etats-Unis l'ambiance est bien différente qu'en France.
Le nouveau directeur du NIH, Jay Bhattacharya, Docteur en médecine de l'université de Standford, est très critique vis à vis de la plate-forme de fabrication des vaccins ARNm. Et expose les données graves du problème.
« Les vaccins Covid au niveau du public en tous les cas aux Etats-Unis se sont effondrés. Très peu de gens prennent encore ces vaccins. Les vaccins ARNm pour le Covid sont actuellement morts au niveau du marché. L’argent que Pfizer ou Moderna reçoivent de ces vaccins s’est effondré depuis des niveaux astronomiques en 2021...
Pour moi la prochaine étape c’est la plate-forme ARNm elle-même. J’ai regardé très attentivement les données. La théorie est la suivante : je vous donne ces vaccins et le corps produit les antigènes que je voulais produire, votre système immunitaire réagit à celui-ci comme pour les antigènes du virus Covid.
La réalité c’est que la dose d’antigènes qui est produite par une injection ARNm peut-être de 1, 2 3, 5 il n’y pas de contrôle à ce niveau. Il y a un contrôle sur la dose mais pas sur le nombre d’antigènes créés. Leur biodistribution non plus n’est pas contrôlable (les antigènes se diffusent dans une grande partie du corps contrairement à ce qui était prévu au départ)...Ainsi il y a une évidence d’une blessure dans différentes parties du corps car la biodistribution n’est pas contrôlable. Et la troisième chose, c’est que la fidélité des protéines fabriquées par la technologie ARNM n’est pas parfaite. Vous avez souvent des protéines et des antigènes qui ne sont pas dans le code lui-même parce qu’ils échappent au cadre défini. Ainsi au niveau de la régulation, du point de vue du régulateur, est-ce que vous dites ok je peux donner ce produit aux gens alors que vous ne savez pas la dose que vous donnez et où il va dans le corps et que ne savez pas si vous produisez la cible d’antigènes que vous voulez produire? Ok il a eu un prix Nobel pour cette plate-forme ARNm mais il va falloir 2 ou 3 autres prix Nobel avant que cette plate-forme soit prête à grande échelle je pense. Alors quelle est la prochaine étape ? Il faut être sûr que les régulateurs sachent cela lorsqu’ils approuvent des produits. Avec cette plate-forme ARNM, ils approuvent des plate-formes où les fabricants n’ont pas d’idée de la dose qu’ils donnent où cela va dans le corps, si l’antigène qu’ils veulent produire est actuellement produit et s’il n’y pas des antigènes produits en dehors de la cible ».
Pendant ce temps en France on injecte massivement des canards d'élevage avec des vaccins ARNm sans prendre en compte les dangers de cette technologie
Aux Etats-Unis la remise en question des vaccins ARNm est donc totale pendant qu’en France on vient d’apprendre que depuis cet hiver des canards d’élevages étaient injectés de vaccins ARNm en dehors de tout principe de précaution vis à vis de cette technologie comme l'indique l'association Inf'OGM.
Cela contribue à faire chuter les ventes de canards certains Français étant informés de ces problèmes.
On diffuse ainsi cette technologie sur « les Français en dépit de leur plein gré » avec en plus des vaccins ARNm auto-amplifiants qui sont encore plus dangereux potentiellement que les classiques vaccins ARMn du Covid. Certains chercheurs ont prouvé que l'ARNm injecté ne se dégrade pas aussi rapidement que prévu et pourrait donc passer de la chair des volailles au corps humain. Comme le note le Pr Sabatier, les ARN vaccinaux sont ultra-stabilisés, bien différents des ARN naturels et leurs particules protectrices peuvent conférer une résistance accrue à la chaleur de la cuisson et à l’acidité gastrique..En bref les consommateurs pourraient être vaccinés à l'ARNm en mangeant de la volaille sans le savoir. Un nouveau scandale français.
Le décalage entre la France et les Etats-Unis, tant en terme de niveau scientifique, que de liberté de parole est total.
La moindre des choses serait d’appliquer immédiatement un principe de précaution sur cette technologie au regard des effets secondaires, de la procédure ayant conduit à leur homologation ou des découvertes factuelles sur les données des vaccinés rapportées par le NIH américain. Mais nous sommes en France, un pays désormais synonyme de censure cachée et diffuse.
Rappelons que la France a été très impliquée dans la création du laboratoire P4 de Wuhan avant de céder la place à des associations officieuses américaines comme EcoHealth comme l'a noté la Chambre des Représentants américaine.
Une récente enquête de Bonsens a montré que 9% des 1200 sondés représentatifs de la population ont noté des effets secondaires graves soit bien plus que ce qu'a enregistré l'ANSM un chiffre qui porterait le nombre de personnes ayant subi des effets secondaires graves à 4,51 millions si l'on appliquait le pourcentage à la population vaccinée.
L'interview du président de la NIH est visible ci-dessous. Elle devrait normalement être diffusée sur toutes les grandes chaines de télévision française tellement elle est importante mais n'y comptez pas trop en France :
Please listen to @DrJBhattacharya the new head of the NIH ( Anthony Fauci’s former position ) and his views of the mRNA jabs . They will be suspended in the US , so wherever you live please don’t take any more of them and please don’t allow them to be given to any children… https://t.co/LC17TsRUoV
— Andrew Bridgen (@ABridgen) April 23, 2025