L'Union Européenne ressemble décidément de plus en plus à l'ex-URSS. Elle voudrait maintenant prolonger le certificat Covid pour voyager dans l'espace Schengen et dans l'UE jusqu'en 2023 alors qu'il n'a pas fait preuve de son efficacité pour contrer les flambées économiques constatées ces derniers mois et que les peuples européens sont majoritairement contre...
La libre-circulation des citoyens des différents pays membres de l'UE a été inscrite dans le traité de Maastricht en 1992 et par les accords de Schengen via l’adoption de la directive 2004/38/CE.
Et voilà que sans en tenir compte, l'Union Européenne a lancé en juillet 2021 le certificat Covid qui est de fait une mesure qui supprime la liberté de circulation pour les citoyens des différentes pays de l'UE en les obligeant à voyager sous certaines conditions médicales.
Non contente de créer des obstacles à la libre-circulation, voilà désormais que l'UE souhaite prolonger le certificat Covid numérique jusqu'au 30 juin 2023 alors que l'épidémie est en chute libre dans la plupart des pays d'Europe dont la France.
Ces procédés sont peu démocratiques alors que la majorité de citoyens sont opposés à l'utilisation de ces certificats pour voyager. Rappelons que ces certificats doivent expirer en juin 2022, ce qui tombe bine puisque grâce à Omicron l'épidémie n'a jamais été aussi peu mortelle.
Nous invitons tous les voyageurs férus de liberté et opposés à la prolongation de ces certificats à se manifester en donnant leur opinion à la Commission Euriopéenne via ce lien.
Il est intolérable qu'il faille désormais présenter des données de santé pour pouvoir voyager. Désormais le rideau de fer en Europe est du côté de l'UE et non plus du côté de la Russie avec ces règlements qui sont attentatoires aux libertés essentielles.
L'UE : ennemie des libertés publiques?
Bizarrement le thème de l'Europe est très peu présent dans la prochaine campagne présidentielle française alors que l'on voit aujourd'hui que l'UE semble être l'ennemie des libertés publiques en empêchant les européens de voyager sans certificat Covid et données de santé alors que ce droit à la libre-circulation est inscrit dans les traités.
Au final la libre-circulation n'aura été qu'une chimère de l'UE pour mettre en place des passes numériques bien plus coercitifs que les passeports utilisés avant Schengen pour se rendre dans tous les pays d'Europe. L'épidémie de Covid n'est qu'une excuse pour ces passeports numériques vaccinaux prévus dès 2019, avant l'épidémie de Covid (NDLR : voir ci-dessous le document officiel de l'UE datant de cette époque qui prévoyait des cartes de vaccination en 2022).
L'UE travaille aujourd'hui à mettre en place un modèle à la chinoise sur notre continent contraire à l'esprit de la plupart des pays d'Europe et de la France qui a toujours été de défendre les libertés. La Commission ne se cache pas qu'elle travaille d'ailleurs à un projet d'identité numérique pour tous les européens, ce qui permettra de suivre à la trace tous les mouvements, actions d'une personne : voir cet article.
Même les pires dictateurs n'avaient pas pensé conditionner les voyages, l'obtention d'un prêt, la possibilité de dépenser à l'identité numérique et donc l'obligation vaccinale ou toute autre obligation ce qui pourrait bien être le but de l'identité numérique et de son couplage à la monnaie numérique. La perspective d'un retour au totalitarisme est aujourd'hui présente dans le projet d'identité numérique de l'UE.
Une autre Europe reste à inventer vite ou sinon il vaudrait mieux la quitter : les anglais l'ont compris et ont quitté l'UE car ils pensaient qu'elle n'était pas réformable...De plus la politique d'émission monétaire incontrôlée de la Banque Centrale Européenne est par ailleurs particulièrement dangereuse pour le niveau de vie futur des européens et fait planer des menaces très fortes d'hyperinflation et de surendettement (voir cet article de l'Institut des Libertés). IL est étonnant que le peuple allemand cautionne une telle politique alors qu'il a extrêmement souffert de l'hyperinflation dans la période dans les années 20.