Loin de la propagande catastrophiste, des épisodes de canicule ont été assez fréquents au cours de ces 100 dernières années et plus généralement tout au long de l'histoire…
La canicule actuelle n’est que la 50ème vague de chaleur recensée en France depuis 1947. En 1976, le thermomètre a dépassé pendant de très nombreuses journées les 35 degrés et personne à la télévision ne parlait de situation catastrophique ou mettait autant l’accent sur une vague de chaleur.
Il y a eu bien d’autres étés caniculaires comme en 1911 ou en 1947. Du 25 juillet au 5 août 1947 il a fait plus de 40 degrés à Paris et dans diverses villes du pays.
Mais ce n’est pas tout. Au cours de l’histoire le climat s’est réchauffé à plusieurs reprises. Sous les Romains, le climat était ainsi bien plus chaud qu’à notre époque. Au cours du Moyen-Age plusieurs épisodes de forte haleur détruisent les récoltes comme en 1524 où l’échaudage du mois de mai provoque une forte hausse du prix du blé ou en 1545. En 1556, la vendange a lieu le 1er septembre tellement l’été fut chaud. Les années allant de 1310 à 1320 ont été aussi marquées par des épisodes de sécheresse et de chaleur excessive.
Au XVIIème siècle, il y a eu plusieurs étés chauds et secs en plein milieu du Petit Age Glaciaire. En 1718-1719, il y a une période chaleur intense avec des vendanges précoces ainsi que durant les années entre 1740 et 1750. Ces périodes de réchauffement étaient dues comme aujourd’hui à des anticyclones persistants.
Plus que la chaleur les hommes ont bien plus souffert du froid pendant des siècles comme le constate Emmanuel Leroy-Ladurie dans son histoire humaine et comparée du climat. Rappelons que le petit Age glaciaire a durée de 1300 à 1860 et a consisté en un refroidissement global du climat. Il est donc normal qu’à une phase de refroidissement succède une phase de réchauffement.
Le livre d’Emmanuel Leroy-Ladaurie, montre également que le climat n’est pas linéaire : une année pouvait connaître un hiver rigoureux suivi d’un été caniculaire, et des étés secs n’entraînaient pas toujours des catastrophes agricoles, contrairement à une humidité prolongée.
Un flux du Sahara lié au positionnement d'un anticyclone au dessus de la Méditerranée
La période de canicule actuelle est due au fait qu’un anticyclone est positionné sur la Méditerranée et fait remonter de l’air chaud en provenance du Sahara.
L’anticyclone s’est installé durablement sur la Méditerranée, une situation connue sous le nom de dôme de chaleur et qui n’a rien d’exceptionnel.
Un anticyclone centré sur la Méditerranée crée une circulation atmosphérique qui aspire de l’air chaud et sec depuis le désert du Sahara vers le nord, via des vents méridionaux (sud vers nord). Cet air saharien, souvent chargé de poussières, est naturellement très chaud (températures au sol dans le Sahara dépassant 40-50 °C). Lorsqu’il est transporté vers l’Europe, il contribue à des températures anormalement élevées. L’anticyclone maintient une masse d’air chaud et stable au-dessus de la France, empêchant les perturbations atlantiques (fronts frais, pluies) d’atteindre la région. Le ciel dégagé favorise un fort rayonnement solaire, accentuant le réchauffement.
La théorie du réchauffement climatique lié à l'homme ne fait pas l'unanimité parmi les scientifiques
Rappelons que le GIEC est un organisme intergouvernemental qui assure que le CO2 est la cause d’une probable période de réchauffement est un organisme où beaucoup de participants ne sont pas des scientifiques mais des membres d’ONG idéologiques, d’associations comme le Secours Catholique ou de fonctionnaires, politiques. Beaucoup d’autres scientifiques ne sont pas d’accord avec cette théorie du réchauffement dû au CO2.
1995 scientifiques dont plusieurs prix Nobel se sont regroupés sous le sigle du CLINTEL pour assurer qu’il n’y a pas d’urgence climatique. Le CLINTEL s’oppose ainsi au GIEC avec des scientifiques de renom.
Voilà la déclaration de ces scientifiques : « Les archives géologiques révèlent que le climat de la Terre a varié depuis que la planète existe avec des phases naturelles de froid et de chaud. Le petit âge glaciaire s'est achevé en 1850. Il n'est donc pas surprenant que nous connaissions aujourd'hui une période de réchauffement. La planète s'est réchauffée beaucoup moins que ne le prévoyait le GIEC sur la base du forçage anthropique modélisé. L'écart entre le monde réel et le monde modélisé nous indique que nous sommes loin de comprendre le changement climatique. Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas du tout plausibles en tant qu'outils de politique mondiale. Ils exagèrent l'effet des gaz à effet de serre tels que le CO2. En outre, ils ignorent le fait que l'enrichissement de l'atmosphère en CO2 est bénéfique. Le CO2 n'est pas un polluant. Il est essentiel à toute vie sur Terre. La photosynthèse est une bénédiction. L'augmentation du CO2 est bénéfique pour la nature et rend la Terre plus verte : l'augmentation du CO2 dans l'air a favorisé la croissance de la biomasse végétale mondiale. Il est également bénéfique pour l'agriculture, car il permet d'augmenter les rendements des cultures dans le monde entier. Il n'existe aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles similaires, ou qu'il les rend plus fréquentes. Il n'y a pas d'urgence climatique. Il n'y a donc pas lieu de paniquer ou de s'alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique néfaste et irréaliste de réduction nette des émissions de CO2 proposée pour 2050. Si de meilleures approches apparaissent, ce qui ne manquera pas d'arriver, nous aurons tout le temps de réfléchir et de nous réadapter. L'objectif de la politique mondiale devrait être la « prospérité pour tous » en fournissant une énergie fiable et abordable à tout moment ».
« Malgré cette pression, il n'y a pas de consensus sur le changement climatique : parler de 97% de scientifiques s'accordant à dire que nous sommes confrontés à une crise climatique d'origine humaine est tout simplement une plaisanterie », selon Judith Curry, professeur en climatologie émérite au Georgia Institute of Technology.
Elle explique que les scientifiques ne sont pas d'accord sur les questions les plus importantes concernant le changement climatique. Par exemple, il existe un débat important sur la part du réchauffement actuel de la planète qui est due à l'homme et celle qui est naturelle. Dans le même temps, cependant, de nombreuses croyances largement répandues, telles que l'idée d'une crise climatique ou que le réchauffement climatique provoque des conditions météorologiques plus extrêmes, sont tout simplement fausses. Selon Curry, il est également difficile de justifier l'affirmation selon laquelle un réchauffement de quelques degrés est dangereux de manière significative.
Le CLINTEL propose donc une alternative à la pensée dominante du GIEC via des scientifiques de renom.
Il est vrai que le catastrophisme est a été à la mode de tous temps notamment via les témoins de Jehovah.
Les nouveaux témoins de Jehovah veulent surfer sur la peur ou la phase de réchauffement de la planète pour mettre en place des mesures de coercition vis à vis du plus grand nombre en culpabilisant la majorité. D’où les lois visant à restreindre les droits : interdiction de circuler, de posséder une maison individuelle et contrôle de toutes les activités via les monnaies numériques associées à des droits. Cela permettrait à une toute petite minorité de contrôler l’ensemble des activités humaines et de réduire la quasi majorité à un quasi esclavage. Rappelons que Maurice Strong est l'un des co-fonfadateurs du GIEC et qu'il était partisan d'une réduction de la population. « Depuis 1972 la population a cru de 1,7 milliard soit l'équivalent de la population au début du siècle....Cette croissance ne peut plus continuer. La population doit être stabilisée rapidement. Et si nous ne le faisons pas la nature le fera plus brutalement » note-t-il sur son blog. On voit bien quelle est l'idéologie sous-jacente
Lire la déclaration du CLINTEL en anglais.
Lire aussi https://www.climato-realistes.fr/
