La reprise de l'épidémie dans la plupart des pays fortement vaccinés montre que les vaccins empêchent peu les contaminations. Les états devraient plutôt ouvrir les frontières en fonction des tests et intégrer aussi les guéris du Covid. Discriminer l'entrée dans un pays en fonction de son statut vaccinal est discriminatoire et peu utile pour empêcher les infections.
On nous disait qu'en nous vaccinant il n'y aurait plus d'épidémie. Or on constate aujourd'hui que l'épidémie progresse rapidement y compris dans les pays avec un taux de vaccination très élevé (voir cet article qui détaille la reprise épidémique dans les pays hautement vaccinés). La carte de l'European Center for Disease Control est rouge pour de nombreux pays fortement vaccinés comme l'Islande (78% de vaccinés 2 doses), la Belgique (75%), les Pays-Bas (73%), l'Irlande (76%).
L'Autriche vient d'annoncer un confinement de l'ensemble de sa population alors que l'annonce précédente du confinement des non vaccinés avait été très mal accueillie. La police et l'armée avaient décidé de refuser de contrôler le pass sanitaire .
Plus de cas que lors des précédentes vagues de Covid alors que la majorité de la population est vaccinée, cela pose la question de l'efficacité réelle des vaccins...
Le gouvernement autrichien a tenté d'opposer les vaccinés aux non vaccinés mais qui peut le croire alors que comme en Allemagne l'épidémie est à des niveaux jamais vus malgré la vaccination? On en vient à se demander si les vaccins ne seraient pas le problème alors que l'Autriche a compté 15545 cas le 18/11/2021 selon Worldometers contre 9586 cas au plus fort de l'épidémie le 13 novembre 2020. Avec les vaccins l'épidémie repart encore plus fort que lors des précédentes vagues, et ceci malgré la vaccination à ARNm de masse.
L'Allemagne a enregistré 65371 nouveaux cas en 24H un chiffre jamais atteint depuis le début de la pandémie alors que 67,8% de la population est vaccinée. Ces chiffres semblent remettre totalement en cause l'efficacité des vaccins et la même chose devrait se passer en France dans les prochains jours.
Alors que le taux de vaccination atteint 80% en Corée du Sud, l'épidémie explose depuis le mois d'octobre. A Singapour où 90% de la population est vaccinée, le nombre de contaminations dépasse les niveaux d'avant le vaccin. Le Ministre des Finances Lawrence Wong a prévenu : « Singapour n'atteindra pas l'immunité collective durant cette pandémie malgré le taux élevé de vaccination. Même avec un taux très élevé nous n'atteindrons pas l'immunité collective ». Faut-il être plus clair? Les vaccins actuels ne permettront pas d'atteindre l'immunité collective même avec des taux élevés de vaccination selon le Ministre des Finances de Singapour.
Pourquoi vacciner les plus jeunes?
On nous aurait menti avec le vaccin en nous promettant la fin de l'épidémie? Pourtant en France on encourage encore les jeunes adultes et les enfants à se faire vacciner alors qu'ils pourraient au contraire faire profiter à l'ensemble de la population d'une immunité plus forte en étant guéri du Covid et alors qu'ils présentent généralement peu ou pas de symptômes. Par ailleurs, des études montrent que les vaccins à ARNm provoquent des myocardies aux plus jeunes (y compris pour les vacins Pfizer). On prend donc des risques pour la santé des jeunes avec les myocardies alors qu'ils sont très peu touchés par le Covid. Les pays scandinaves ont décidé d'être beaucoup plus prudents avec ces vaccins et d'interdire le vaccin Moderna aux jeunes.
Une étude réalisée par les chercheurs du Kahn Sagol Maccabi Research & Innovation Center en Israël, a prouvé que l’immunité naturelle après une infection au SARS-CoV-2 est bien meilleure que l’immunité vaccinale. « Cette étude a démontré que l'immunité naturelle confère une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et l'hospitalisation causées par la variante Delta du SRAS-CoV-2, par rapport à l'immunité induite par le vaccin à deux doses BNT162b2» indiquent les chercheurs.
Par ailleurs, comme les vaccins sont administrés par voie musculaire, ils n'offrent pas de protection au niveau de la muqueuse ce qui signifie que le virus peut survivre dans le nez ou la gorge et que la personne vaccinée peut potentiellement rester infectieuse.
Pourquoi discriminer les voyageurs en fonction du statut vaccinal?
Pourtant de nombreux pays n'ouvrent leurs portes qu'aux vaccinés pour voyager comme si l'immunité naturelle n'existait pas et comme s'ils ne regardaient toujours pas les chiffres des infections dans les pays hautement vaccinés. Allons-nous voir dans quelques mois des scandales liés à la corruption de politiques avec les firmes pharmaceutiques?
Contrairement aux chiffres avancés en France, dans de nombreux pays les hospitalisations sont importantes chez les vaccinés, voire même plsu que pour les non vaccinés comme le prouvent des témoignages dans plusieurs pays.
Le Dr. Kobi Haviv, le directeur médical à l'hôpital Herzog à Jérusalem, a déclaré : « 85-90% des hospitalisations sont des personnes totalement vaccinées » et « 95% des patients sévèrement atteints sont vaccinés ». Au Royaume-Uni, 85% des décès sont vaccinés. Une étude israélienne montre même que les vaccinés deux doses après 6 mois seraient plus susceptibles d'aller en hospitalisation en soins critiques ou de décéder que les non vaccinés.
L'ensemble des chiffres montre que l'épidémie repart à la hausse malgré les vaccins avec des records de contamination dans toute l'Europe.
Ainsi si l'on constate qu'il y a autant de malades cet hiver voire plus que durant les vagues précédentes alors il faudra se poser la question de problèmes de corruption alors que de nombreuses études scientifiques montraient que les vaccins étaient peu efficaces contre le variant Delta. Le Premier Ministre de l'Etat du New South Wales en Australie a d'ailleurs du démissionner récemment suite à une enquête de la Commission Indépendante contre la corruption pour « des faits qui constituent ou impliquent une faute quant à la confiance publique » (voir aussi cet article).
Au regard de ce chiffres, les états devraient autoriser à nouveau les voyages avec des tests PCR ou antigéniques, qui permettent de prédire une infection au contraire du fait d'être vacciné. L'Islande l'a déjà fait comme nous l'indiquions début octobre en prônant la fin du tout vaccin.
L'Islande impose des tests aux personnes vaccinées entrant dans le pays depuis cet été, ce qui est normal.
Þórólfur Guðnason, l'épidémiologiste en chef islandais estime que « la capacité des vaccins à empêcher une réinfection des personnes inoculées est bien trop faible et qu'il faudrait laisser les gens se contaminer naturellement afin d'obtenir à terme l'immunité collective... L'immunité collective doit être atteinte via la transmission du virus ». Selon lui « l'objectif ne doit plus être à ce point d'éradiquer le virus de la société » alors que l'« l'immunité collective n'a pas pu être atteinte via la vaccination ».
On ne peut que constater en Europe que les vaccins semblent peu protéger la population d'une reprise épidémique au regard de la nouvelle vague de cet automne 2021. L'immunité collective via la vaccination semble être un mythe comme avancé par de nombreux chercheurs du fait d'une efficacité trop faible et la durée trop faible du vaccin soit de seulement 39% selon une étude israélienne avec une efficacité de quelques mois seulement. Doit-on vacciner tous les 6 mois l'ensemble d'une population avec un coût disproportionné envers la Sécurité Sociale pour une maladie qui ne représente que 2% des hospitalisation? Surement pas.
Il serait temps que les états apprennent à vivre avec le Covid comme pour la grippe et arrêtent de faire peur à leur population.
La discrimination des voyages liée au fait d'être vacciné devrait cesser et tous les états devraient rouvrir leurs frontières avec des tests à l'entrée ce qui serait beaucoup plus efficace.
Le Covid : une maladie très peu mortelle au regard du Cancer ou des maladies cardiaques
Rappelons qu'en 2020 selon ce rapport de l'Agence Technique de l'Information sur l'Hospitalisation, « 218 000 patients ont été hospitalisés pour prise en charge de la Covid-19 en France. Les patients Covid représentent 2 % de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020, tous champs hospitaliers confondus ». Les patients Covid en soin critiques ont représenté 5% des patients. Certains évoquent ainsi « un mensonge d'Etat ».
On voit donc que la plupart des politiciens dans le monde ont profité de la crise pour mettre en place des mesures attentatoires à la liberté pour une maladie bien peu mortelle par rapport aux Cancers (150000 morts par an) ou aux maladies cardiaques. Le risque de mourir d'un cancer ou d'une maladie cardiaque cette année pourrait être encore plus fort alors que l'obligation vaccinale chez les soignants a créé une pénurie de personnel à l'hôpital qui pourrait dégrader la qualité des soins. On estime qu'il manque 10% du personnel selon le Courrier des Stratèges.
On a par ailleurs noté une surmortalité hors Covid « entre fin mai et fin août en Europe. En France, 10000 personnes en trop sont décédées au cours des 4 derniers mois pour des raisons non liées au Covid » explique le Courrier des Stratèges..
Les tests plus fiables que les vaccins pour les voyages
Un peu de raison serait bienvenue dans cette hystérie collective! Prenons le Covid pour ce qu'il est : une maladie un peu plus forte que la grippe avec laquelle il faudra vivre de longues années. Rassurez-vous si l'on regarde les chiffres des hôpitaux vous aurez exponentiellement plus de chance de mourir d'un cancer ou d'une maladie cardiaque. Voilà ce que devraient être les vraies priorités du Ministère de la Santé en plus de mettre l'accent sur le personnel soignant et non le personnel administratif...Le pass sanitaire ne servirait à rien scientifiquement parlant, de même que l'exigence d'une vaccination aux frontières alors que les vaccinés transmettent la maladie. La blague du pass sanitaire et la prétendue très bonne efficacité du vaccin pour empêcher les contaminations ne fait pas rire alors que le nombre de cas a doublé en une semaine en France et va bientôt atteindre les pics connus lors des précédentes vagues où la population n'était pas vaccinée. Il va falloir changer de méthodes dans nos démocraties si l'on veut garder nos libertés...