Dès le mois de février, les voyageurs ne pourront plus se rendre dans les deux départements français sans motif impérieux d’ordre personnel ou familial, un motif de santé relevant de l’urgence ou un motif professionnel ne pouvant être différé...
Les Antilles dans une certaine de sauver une petite partie de la mise pour le trafic long-courrier. Air France avait notamment renforcé ses vols vers ces destinations en proposant des départs depuis 2 aéroports : Orly et Roissy.
Mais les prochaines vont doucher les espoirs de la profession. A partir du 2 février, il sera nécessaire d'avoir un motif impérieux pour se rendre dans ces deux départements. Il faudra un motif impérieux pour partie aux Antilles mais pas pour en revenir ou pour voyager entre les deux îles.
Depuis le 18 janvier des tests PCR négatifs de moins de 72H étaient obligatoires pour se rendre en Martinique ainsi qu'une septaine à l'arrivée. Pour la Guadeloupe un tests PCR de négatif de moins de 72H suffisait.
L'objectif du gouvernement est de limiter les départs vers ces deux îles pendant les vacances de février afin d'éviter de disséminer les variants britanniques ou sud-africains.
Le problème est cependant le suivant : maintenant que l'on connaît la très faible mortalité du virus pour les moins de 60 ans (ce que l'on ne savait pas en mars 2020, voir la Russie et la Californie lèvent les restrictions), peut-on tuer économiquement l'ensemble d'un secteur et endetter nos enfants à vie pour une épidémie somme toute peu mortelle? Rappelons que la dette publique n'a jamais été aussi élevée depuis la seconde guerre mondiale et que cette dette est principalement aux mains de banques privées et qu'il va falloir la rembourser.
Chaque jour de confinement, chaque jour d'interdiction d'exercice pour les restaurants bars et entreprises diverses créé une montagne de dettes. Cette inactivité ruine les TPE/PME au profit unique des grands groupes et particulièrement de les domaines de l'ecommerce et des nouvelles technologies...Cette dette va nous asservir et nous transformer en un pays sous-développé.