Alors que le pays présente l'avantage pour les touristes d'avoir de nombreuses autoroutes gratuites, les politiciens espagnols sous l'impulsion de l'UE veulent rendre les autoroutes d'Etat payantes...
L'Espagne est l'un des pays avec le Royaume-Uni, l'Allemagne, mes Pays-Bas, la Belgique, le Danemark et la Suède à avoir de nombreuses autoroutes gratuites.
C'est une excellente chose pour les touristes qui peuvent se rendre dans le pays facilement et à moindre frais.
Or sous le dictat de l'UE, les différents partis parlent de mettre en place des péages pour les autoroutes d'Etat à partir de 2024.
Selon le Ministère des transports espagnol cité par la Razón, un accord du gouvernement espagnol avec Bruxelles oblige le pays à implémenter des péages à partir de 2024. On voit là encore le rôle inflationniste joué par Bruxelles.
Selon le journal El Español les prix pourraient être facturés au kilomètre avec un tarif entre 1 et 9 centimes soit un tarif qui deviendrait extrêmement cher pour se rendre en Andalousie.
Alors qu'en France les autoroutes payantes sont de plus en plus remises en question, l'Espagne pourrait suivre le même chemin que la France au grand dam des touristes.
Alors que de nombreux touristes français se rendent en Espagne en voiture cela aurait certainement pour effet de réduire fortement les flux touristiques entre la France et l'Espagne et donc l'économie de notre voisin qui dépend fortement du tourisme.
Comme aux Pays-Bas, de nouveau partis vont sans doute apparaitre pour faire cesser ces dictats imposés par Bruxelles. Aux Pays-Bas le parti des agriculteurs, le BBB, s'apprête à gagner de très nombreux sièges alors que le gouvernement est devenu de moins en moins populaire en imposant des lois climatiques restrictives très dommageables pour l'économie vis à vis des compagnies aériennes ou des agriculteurs : voir le gouvernement gagne en appel pour limiter les vols.
L'UE permet ainsi de contourner les voix populaires de chaque pays pour imposer des règlements néfastes au niveau économique ou au niveau social.
Dans un autre domaine, la presse et les réseaux sociaux, les nouvelles directives sur les contenus haineux qui devraient être mises en place à la rentrée dans toute l'UE sont une forme de censure extrêmement dangereuse et jamais vue dans des Etats Démocratiques.